[ Non validé ] Callie Vernon

Bonsoir, je voudrais passer le test d'ecriture s'il vous plait.

Affectueusement, Callie.

Apres quelques tortures quotidienne Hadès revint de ses tumultueuses vacances loin de tous ses problèmes à gérer. A son retour il découvre un monde emplit de haine et de peur. Plus qu'il n'en avait jamais connu durant son regne. Le monde tel qu'il le connaissait avait disparu. Malgré ses instructions, les cruels de ce monde avaient décidé de regner tout ce temps laissant place à leurs envies atroces. Le sanguinaire dieu entend bien se faire respecter et remettre de l'ordre dans le désastre. Une fois dans les profondeurs de la Terre, il convoqua tous les chefs de chaques crimes pour les interroger un part un. La peur sur leurs visages fit apparaitre sur le sien un sourire sadique et malfaisant. En approchant du chef des meurtres, le dieu des enfers vit la peur passer devant ses yeux tel un voile de mort. D'un signe de la main il fit signe au criminel de venir avec lui. Il l'emporta au sein d'un volcan, en son coeur. En dessous d'eux la lave semblait se rejouir de sa prochaine victime. Hadès atterit avec sa proie sur un rocher au dessu de la lave en fusion. Une fois que le bourreau se soit redressé pour faire face à son tourmenteur, il baissait les yeux. Hadès, lui jubilait en son fort interieur caché derriere un visage impassible. Les dieux seraient forcé de reconnaitre que sans lui le monde partait dans tout les sens et que le chao se rependait tel la pluie en hivers.

- Tu m'as beaucoup deçu. Le sais-tu ? Demanda Hadès sans regarder le bandit.

- Je suis dé... Désolé maitre, balbutia la victime.

- Pourquoi ne m'as-tu pas ecouté ? Je ne t'en demandais pas grand chose pourtant, dit-il d'un ton qui parraissait gentil, ce qui accentuait la peur et le sadisisme de la situation.

Son ton etait atroce pour quiconque l'entendait. Malgré un ton doux, il inssuflait la terreur. Oser le decevoir serait le dernier acte du malheureux.

- Euh... Non bien sûr que non maître, articula le mechant.

- Alors pourquoi me decevoir de cette manière. Moi qui ne voulait pas te faire du mal, soufla Hadès.

- Non, s'il vous plait. Je vais m'améliorer je vous le jure maître, reussit à dire le pauvre avant qu'Hadès ne le propulse dans les profondeur du volcan.

Ce que ça faisait du bien d'être cruel. Le terrible dieu retourna à son domaine et interrogea chaques bandits qui finirent dans les profondeur d'un volcan, dans une mer infestée de requins, entterrés vivant, dévorés par des lions, des ours... Il avait laissé place à son imagination. A présent, devant lui se trouvaient les successeurs de chaques bandits abbatus. Ca leur servira de leçon à tous. On ne contrarit pas Hadès sauf à souhaiter la mort. Les nouveaux semblaient térrorisé à l'idée de pouvoir subir le même sort. C'etait exactement ce qu'il voulait. Et peut-être repartirait-il en vacances si son retour etait remplit d'acte cruel qu'il pourrait acomplir sans reproche des Dieux du ciel. Ce que c'etait bon d'être mechant.

Je suis seule, et j’ai peur. Je n’ai jamais eue aussi peur. Même la fois où Reed a eu son accident, je n’étais pas aussi terrifiée. Pourtant là, mes intestins semblent se liquéfier et mon souffle se fait court. Dehors la nuit est tombée et la lune s’est levée. Je sais que la nuit est leur royaume. Le jour, ils se font plus rares. Il ne reste plus que moi dans l’immeuble, hier j’ai cru voir Miss Pendlay, elle titubait dans la rue, agitant une antenne de voiture tordue comme s’il s’agissait d’une épée. Elle ne semblait pas se rendre compte qu’à la place de son œil droit, il n’y avait plus rien.

Personne ne sait réellement comment tout ceci est arrivé. Les gens ont d’abord murmuré que le gouvernement était responsable. Puis la rumeur est devenue vérité. Les zombies sont là. Ils sortent la nuit et nous attaquent. Personne ne sait vraiment comment la propagation se fait. Je ne sais comment ma charmante voisine est devenue cette chose avide de chair humaine.

Alors que mes yeux se ferment, j’entends un craquement dans la cage d’escalier. Un espoir fou s’infiltre en moi, et s’il s’agissait de Reed ? Mais la réalité reprend vite le dessus, Reed est mort, c’est moi qui l’ai tué. Un bruit sourd se fait entendre contre ma porte d’entrée. Et soudainement elle vole en éclat.

La peur s’insinue en moi, le sang qui passe dans mes veines me brule, mes tempes me font mal. J’ai peur. Caché dans mon appartement, je les sens venir. Ils arrivent et je ne peux rien contre cela. Ils vont me tuer, ou pire me transformer. Je m’empêche de respirer à fond, ils pourraient m’entendre. Ils fouillent l’appartement, regardent partout leurs pas résonnent dans la pièce, ils vont me trouver, je vais mourir. La dure réalité me frappa en plein plexus. J’allais mourir ou peut-être que je deviendrais comme eux, mais au fond je serais morte. De toute façon mon cœur avait cessé d’exister au moment même où le cœur de Reed avait cessé de battre. Au lieu de la panique qui aurait du s’installer en moi tel un poison mortel, j’en fus soulager. Tout ceci allait s’arrêter, je ne souffrirais plus longtemps. Qu’ils fassent de moi ce qu’ils entendent bien, je serais libérer de mon malheur, de ma panique. Ils marchaient, cherchaient, fouillaient. Ils se rapprochaient dangereusement de ma cachette. Allaient-ils me tuer ? Ou allaient-il simplement me transformer en zombie dénuer de sens ? En regardant ma cachette, je vis la photo de Reed et moi au bord du lac, il y a longtemps. Un temps résolu, le temps où nous pouvions être heureux au grand jour comme sous les reflets scintillant de la lune. Ma détermination à mourir s’envola tel un phénix qui renait de ses cendre, ma volonté à vivre se ressuscita. Je voulais vivre, je voulais me battre. La mort de Reed n’aura pas servi à rien, je trouverais un moyen de subsister dans ce monde dénuer d’âme et d’amour. Alors au moment où je pris la décision de vivre, la porte du placard s’ouvrit sur un des leur. Horrible zombie dont l’odeur corporel aurait suffit à vous faire trépasser. Il me toisa durant quelques secondes puis hurla, un son strident à vous faire grincer des dents, ce que je fis d’ailleurs. Il fallait que j’agisse vite. Sortant du placard, non sans frapper l’abomination de la nature en plein visage, si on pouvait encore appeler ça un visage. Il recula, puis tous se précipitèrent vers moi. Je devais constituer leur repas, ils m’avaient traqué durant des heures. Je me mis à courir, aussi vite que mes frêles jambes le permutèrent. Je sortis de l’immeuble et l’air frais s’insinua dans mes poumons, les gonflants de l’air suffisant pour aller jusqu’à ma prochaine cachette. Ils ne falaient pas qu’ils me voient, sinon s’en serais fini de moi. Je devais tenir jusqu’au levé du soleil, je n’en demandais pas plus. La nuit serait longue. Ma terreur se transformait en rage de vivre. Reed était mort, mais il voulait que je vive, alors je vivrais. Pour lui. Ils arrivaient, je les entendaient marcher. Ma cachette était là tout près. J’entrais dedans et allais me barricader dans une pièce pleine d’une lumière semblable à celle du jour. Ils ne viendront pas si la lumière ne faiblissait pas. L’endroit était modeste, un canapé était dans un coin avec quelques journaux ainsi que de la nourriture. Les tubes fluo accroché au plafond me rassurais. Le souvenir de Reed allonger sur le sofa, un sourire béa sur son visage en lisant une bande dessinée. Comment pouvait-il sourire dans ces moments atroce. Son simple souvenir fit jaillir des larmes silencieuses. Les larmes perlèrent sur mes joues. J’étais seule au monde. Si je n’avais pas promis à Reed de vivre j’aurais volontiers abandonné le combat et rendu les armes. Ah ce que la mort serait douce comparé à la vie sur cette Terre. Si le monde n’avait que ça à m’offrir à quoi bon vivre ? Soudain des bruits de pas se firent entendre. Ils arrivaient. Leur pas dégoulinant passèrent près de ma cachette. Ils ne s’y attardèrent pas cependant, ils devaient être cinq heures du matin à présent, en tout cas d’après la vieille horloge accroché au mur. Le soleil n’était pas loin de commencer sa course. Mon enfer personnel se fit éclipser par la lumière. Une journée de plus. Je vivrais au moins jusqu’à ce soir. Et je dormirais en plein soleil en rêvant de Reed. L’espoir vibrait en chacun des survivants à ce moment de la journée, j’étais sauvé, grâce à lui. Reed.
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